Réconciliation (Confession)

 « Seigneur Dieu de tendresse et de miséricorde,
lent à colère et plein d’amour »

Psaume 102

Par le sacrement de la Réconciliation, Dieu pardonne nos fautes et nous donne la grâce de nous convertir.

Ce sacrement peut se recevoir par une démarche individuelle auprès d’un prêtre, lors des célébrations pénitentielles la veille des grandes fêtes liturgiques, et en catéchèse pour les enfants.

Pourquoi appelle-t-on « sacrement de réconciliation » ce qu’on appelait « sacrement de pénitence » ou « confession » ?

• Le mot « confession » indique seulement l’aveu des péchés sans suggérer le pardon.
• Le terme « pénitence »  évoque l’expiation, la mortification.
  Il est insuffisant pour exprimer le pardon de Dieu.
• Le mot « réconciliation » (utilisé de puis le concile Vatican II) exprime l’essentiel,
  qui est le pardon de Dieu dans la rencontre.
• L’expression « sacrement du pardon » convient aussi tout à fait.

Le nouveau rituel du sacrement de pénitence propose en plus de la célébration individuelle, une célébration communautaire du sacrement de réconciliation.
Elle manifeste l’aspect ecclésial de la conversion et met en œuvre une véritable catéchèse de la miséricorde divine et du péché.

Ces célébrations pénitentielles sont fréquentes dans les paroisses pendant le temps de l’Avent et le temps du Carême.

• Après une prière d’ouverture, on écoute la parole de Dieu (textes de la Bible) qui nous montre la miséricorde divine.
• Puis, on se laisse interpeller par les appels de l’Évangile à la conversion qui nous font prendre conscience de nos péchés.
• Enfin, on reçoit le pardon de Dieu par une confession et une absolution personnelle.
• La célébration se termine par une action de grâce.