• Huitième jour

  • Prière de la Neuvaine

    Refuge des pécheurs et Notre-Dame des Victoires, Vierge Marie, vous qui autrefois avez guéri, d'un sourire, celle qui allait devenir Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face, daignez encore aujourd'hui entendre nos appels insistants. Je sollicite la miséricorde de votre Fils. (pour une guérison, pour une réconciliation, pour ma conversion ou celle d'autre personne etc…) J'ai vraiment confiance en la bonté de votre Coeur Immaculé qui compatit à toutes les souffrances humaines. Je sais que vous accueillerez ma demande, parce que vous n'avez pas abandonné Jésus au pied de la Croix, et qu'Il a dit que vous étiez notre Mère. Amen.

    Coeur Immaculé de Marie, apportez-moi votre secours (3 fois)
    Notre Père… Je vous salue Marie… Gloire au Père....

  • Les yeux fixés sur Marie

    « Or, près de la croix de Jésus se tenait sa mère… Jésus, voyant sa mère, et près d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. » Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui. » (Jean 19: 25-27).

    « Marie est aujourd’hui dans la gloire de la Résurrection. Les larmes qui étaient les siennes au pied de la Croix se sont transformées en un sourire que rien n’effacera tandis que sa compassion maternelle envers nous demeure intacte. L’intervention secourable de la Vierge Marie au cours de
    l’histoire atteste et ne cesse de susciter à son égard, dans le peuple de Dieu, une confiance inébranlable: la prière du Souvenez-vous exprime très bien de sentiment. Marie aime chacun de ses enfants, portant d’une façon particulière son attention sur ceux qui, comme son Fils à l’heure de la Passion, sont en proie à la souffrance; Elle les aime tout simplement parce qu’il sont ses fils, selon la Volonté du Christ sur la Croix ». (Benoît XVI, Homélie du 15 septembre 2008)

    Chantons la Mère que le Seigneur nous donne, Elle qui vint au secours de la Petite Thérèse et remettons-nous entre ses mains

    Oh ! je voudrais chanter, Marie, pourquoi je t’aime ! Pourquoi ton nom si doux fait tressaillir mon coeur ! Et pourquoi la pensée de ta grandeur suprême, ne saurait à mon âme inspirer de frayeur. Si je te contemplais dans ta sublime gloire, et surpassant l’éclat de tous les bienheureux; que je suis ton enfant, je ne pourrais le croire….. Marie, ah ! devant toi je baisserais les yeux.

    En attendant le Ciel, ô ma Mère chérie, Je veux vivre avec toi, te suivre chaque jour; Mère, en te contemplant je me plonge ravie, découvrant dans ton Coeur des abîmes d’amour. Ton regard maternel bannit toutes mes craintes, il m’apprend à pleurer, il m’apprend à jouir. Au lieu de mépriser
    les jours de fêtes saintes, Tu veux les partager, tu daignes les bénir.

    Tu nous aimes Marie, comme Jésus nous aime, et tu consens pour nous à t’éloigner de lui. Aimer, c’est tout donner, et se donner soi-même: Tu voulus le prouver en restant notre appui. Le Sauveur connaissait ton immense tendresse, Il savait les secrets de ton coeur maternel… Refuge des pécheurs, c’est à toi qu’il nous laisse quand il quitte la croix pour nous attendre au ciel !

    Bientôt je l’entendrai cette douce harmonie; Bientôt, dans le beau ciel, je vais aller te voir, Toi qui vins me sourire au matin de ma vie, viens me sourire encor… Mère, voici le soir!… Je ne crains plus l’éclat de ta gloire suprême; avec toi j’ai souffert… et je veux maintenant chanter sur tes genoux, Marie, pourquoi je t’aime… et redire à jamais, que je suis ton enfant !

    Prière de la Neuvaine

    Oraison

    Seigneur, Père très Saint, Tu as établi, dans le Mystère Pascal, le Salut du genre humain. Accorde nous d’être comptés parmi les enfants d’adoption qu’en mourant sur la Croix, Jésus-Christ à remis à la Vierge sa Mère, Lui qui règne avec Toi et le Saint Esprit pour les siècles et les siècles. Amen.